Casseurs de la gendarmerie de La Possession: Six jeunes condamnés
Correctionnelle : Il brûle des t-shirts dans TATI, sans raison apparente
Le 13/08/2019 | Par Soe Hitchon - soe.hitchon@zinfos974.com | Lu 4215
Le personnel et les clients du magasin ont dû être bien surpris lorsque Matthieu R. a allumé son briquet et mis feu à plusieurs t-shirts dans la boutique TATI en centre-ville de Saint-Denis le 20 mai dernier. Heureusement, ils ont pu éteindre les flammes avant qu’elles ne se propagent davantage. Le jeune homme a jugé qu’il était plus prudent de s’en aller vers un parking où il a trouvé une voiture déverrouillée ; le propriétaire s’étant absenté pour payer le parcmètre. Il a conduit quelques minutes avant de l’abandonner.
Un comportement étrange qui lui ressemble, malheureusement. Matthieu R., 28 ans, souffre de troubles mentaux et a déjà été interné en 2017. Interpellé en juillet, le tribunal correctionnel a ensuite décidé de reporter son procès à septembre, au vu de son comportement étrange, pour laisser le temps d’une expertise psychiatrique. La détention provisoire en attendant.
Ce mardi, Matthieu R. demandait une mise en liberté. Il explique simplement : "Ça me plaît pas la prison. Dehors, je me sens libre". Ses troubles et son alcoolisme ont eu raison de ses relations familiales et il n’aurait personne pour l’hébergement. En plus, le risque de réitération est trop élevé ; son casier est chargé et il est en récidive.
Malgré l’argument de son avocat, Me Guillaume Motos, sur la place de son client malade qui ne serait pas en prison, Matthieu R. reste en détention jusqu’en septembre.
Un comportement étrange qui lui ressemble, malheureusement. Matthieu R., 28 ans, souffre de troubles mentaux et a déjà été interné en 2017. Interpellé en juillet, le tribunal correctionnel a ensuite décidé de reporter son procès à septembre, au vu de son comportement étrange, pour laisser le temps d’une expertise psychiatrique. La détention provisoire en attendant.
Ce mardi, Matthieu R. demandait une mise en liberté. Il explique simplement : "Ça me plaît pas la prison. Dehors, je me sens libre". Ses troubles et son alcoolisme ont eu raison de ses relations familiales et il n’aurait personne pour l’hébergement. En plus, le risque de réitération est trop élevé ; son casier est chargé et il est en récidive.
Malgré l’argument de son avocat, Me Guillaume Motos, sur la place de son client malade qui ne serait pas en prison, Matthieu R. reste en détention jusqu’en septembre.
